Il est vrai que le soleil apporte des effets positifs à la peau et au corps. Toutefois, si le bronzage se fait de manière excessive, il peut causer des dégâts importants sur la santé des humains. L’addiction au bronzage constitue une maladie à part entière dénommée tanorexie. Dans ce contexte, les questions qui se posent sont : À quoi reconnait-on une personne tanorexique ? Comment y remédier ?

Tanorexie : Définition

La tanorexie se définit comme une addiction liée au bronzage naturel ou artificiel. Cette pathologie peut impacter gravement la santé des personnes atteintes de la maladie. La dépendance au bronzage diffère des dépendances chimiques telles que l’alcool, le tabac ou les drogues puisqu’elle se manifeste par une dépendance comportementale. Un trouble addictif plutôt méconnu, elle cause pourtant autant de risques pour le bien-être et la santé et fournit autant de plaisir que la cocaïne.

Aussi appelée bronzomanie ou tanoholisme, la tanorexie se manifeste par l’envie de se bronzer en permanence non pas avec les crèmes autobronzantes mais exclusivement via les rayons ultraviolets. Ces derniers peuvent être d’origine naturelle comme le soleil ou artificielle comme les cabines d’ultraviolets.

En gros, une personne devient tanorexique à partir du moment où ses programmes de la journée sont planifiés en fonction de ses expositions aux ultraviolets ou au soleil. Sans perdre un instant, elle y va dès qu’elle a du temps libre.

Les critères diagnostiques de la tanorexie

S’exposer au soleil s’avère utile pour la santé et le bien-être, à condition de ne pas en faire trop. Une personne dépendante se reconnaît premièrement par un comportement abusif au bronzage. Le temps perdu à cette activité devient de plus en plus énorme, sans que le malade ne puisse en prendre le contrôle. Par ailleurs, une personne tanorexique s’identifie également par la poursuite du comportement même si elle a pris conscience des dommages évidents d’une exposition excessive sur la santé. Le « craving » pour le bronzage est devenu ingérable.

À part cela, on constate qu’un individu atteint de la tanorexie exprime plusieurs types d’émotions tant positives que négatives. Il extériorise malgré lui bien-être, angoisse, joie, tristesse, irritabilité, etc. Enfin, la pathologie se diagnostique par l’envie d’augmenter l’intensité et la fréquence de bronzage afin d’obtenir le même assouvissement que la première fois. À l’instar d’une personne anorexique, un homme ou une femme atteinte de la tanorexie n’est jamais satisfait de son bronzage, ce qui entraîne un manque de confiance en soi flagrant.

Tanorexie : comment y remédier ?

SI les symptômes correspondent à votre mode de vie, rassurez-vous, il est tout à fait possible de soigner la tanorexie. Atteignant majoritairement les femmes entre 25 et 40 ans, la bronzomanie peut se soigner par thérapie multiple comportant une psychothérapie. La thérapie peut durer 8 à 12 mois et la rechute est possible. Tout comme l’anxiété ou la dépression, le malade doit prendre conscience des dégâts des ultraviolets sur sa peau et améliorer progressivement son comportement excessif face au soleil. À cet effet, il retrouvera confiance en lui et pourra vivre sans cette exposition.

En bon conseiller, les proches du malade ou les thérapeutes doivent éviter tout sentiment de culpabilité au malade et bien lui faire comprendre qu’il n’est pas interdit de s’exposer au soleil. Il suffit juste de déterminer le juste équilibre entre l’abus au soleil et le fait de ne jamais se bronzer.

Si vous voulez perdre du poids, vous pouvez vous tourner vers des séances d’hypnose. En effet, l’hypnose pourra améliorer vos motivations et orienter vos envies alimentaires. De cette manière, vous éviterez les alimentations riches en glucide et opter pour des alimentations plus saines.

Comment maigrir à travers l’hypnose ?

L’hypnose est une technique qui vous permet de créer un état d’esprit réceptif aux suggestions et installer un automatisme dans votre corps. De cette manière, c’est une alternative non négligeable pour changer vos comportements face aux alimentations. Elle crée ainsi une envie de changement dans votre corps. Elle améliorera aussi votre motivation sur le long terme. De ce fait, l’hypnose pour maigrir vous permettra de recréer des sons, des sensations, des images dans votre cerveau. De cette manière, vous allez apprendre à manger des menus légers et augmenter votre motivation à vous remettre au sport. Il est à noter que le traitement à travers l’hypnose peut prendre du temps. Par ailleurs, pour bien installer l’automatisme, vous devez vous astreindre régulièrement aux séances pendant les 3 premières semaines. Il vaut mieux se tourner vers un thérapeute qui utilise des méthodologies adaptées à vos capacités, vos problématiques et vos aptitudes. 

Fonctionnement de l’hypnose sur la perte du poids

Si vous voulez perdre du poids, vous devez revoir votre mode de vie. Vous devez vous détacher de vos habitudes alimentaires. Même si cela nécessite des efforts considérables, vous devez disposer d’une mentalité très forte. À ce stade, l’hypnose peut intervenir pour vous aider à atteindre votre objectif. Elle vous aidera à ne pas abandonner et résister à la tentation. Ainsi, par exemple, si vous ne pouvez pas résister à une alimentation donnée, votre thérapeute utilisera votre imagination pour intégrer un comportement qui préfère choisir des alimentations saines et équilibrées à la place. Pour plus d’efficacité, vous devez avoir de la volonté et de la motivation durant vos traitements. Il est fortement recommandé d’accompagner votre séance d’hypnose avec des activités physiques et des régimes minceurs. 

Optez pour l’hypnose pour maigrir

L’hypnose peut être utilisée comme un complément d’un programme minceur. Elle englobe à la fois la spiritualité et la médecine. Il s’agit d’un coup de pouce pour vous aider à mieux vivre votre période de régime. Par ailleurs, vous pouvez aussi pratiquer l’auto-hypnose. C’est une méthode qui a pour objectif de changer la perception de votre corps et de mieux contrôler votre appétit. Pour ce faire, vous n’avez qu’à écouter des pistes audio chez vous. Ces derniers visent à stimuler votre subconscient dans le but de produire des images mentales. Ces images vous aideront ensuite à modifier votre comportement et à provoquer des autosuggestions. Il s’agit ainsi d’une aide psychologique et d’un support qui vous accompagnera pendant votre régime. 

Comme tout autre drogue, la consommation d’alcool entraîne des effets néfastes sur la santé. La personne alcoolique peut le constater mais continue malgré lui d’en boire. En effet, limiter sa consommation d’alcool n’est pas une chose facile à faire. Dans ce contexte, les questions que se posent sont nombreuses. Quels sont les méfaits de l’alcool sur la santé ? Quels sont les effets bénéfiques de la limitation de l’alcool ?

Les méfaits de l’alcool sur la santé

Force est de constater que l’alcool provoque plusieurs méfaits sur la santé des individus. Il est la cause principale de plusieurs maladies graves. Tout d’abord, l’alcool attaque le foie de façon irréversible et engendre une maladie nommée cirrhose. Toujours concernant cet organe, la consommation excessive d’alcool produit une inflammation du foie ou l’hépatite. En outre, cette boisson peut atteindre des nerfs périphériques et provoquer une inflammation aiguë du pancréas. A l’origine d’autres maladies dangereuses comme le cancer, les troubles du rythme cardiaque ou l’arrêt vasculaire cérébral (AVC), l’alcool devient dangereux surtout si la personne devient dépendante. Enfin, des études ont révélées que l’alcool agit fortement sur le développement du cerveau des adolescents. Jeune ou adulte, limiter sa consommation d’alcool constitue désormais un must et rassurez-vous, c’est bel et bien possible.

Les méfaits de l’alcool sur la société

Tout d’abord, il est évident que la consommation d’alcool n’est pas donnée. En effet, elle entraîne des dépenses considérables et est souvent à l’origine des disputes avec son/sa conjoint(e) ou avec les collaborateurs. Par ailleurs, on entend parfois que l’alcool tient compagnie mais à quantité excessive, les alcooliques ont tendance à se tenir loin de son entourage et à multiplier les mauvaises fréquentations. Cela peut s’expliquer en partie par le fait qu’ils ne se sentent plus à leur aise dans cet environnement « sain ». L’estime de soi prend un coup et il arrive même que la considération d’autrui devient minime à son égard. Enfin, limiter sa consommation d’alcool, c’est limiter les accidents de la route surtout que l’alcoolisme tue approximativement 1500 personnes chaque année. Il est en outre la source d’à peu près 30% des accidents du travail.

Les effets bénéfiques de la limitation de l’alcool

Il est évident que la limitation de d’alcool produit de nombreux bienfaits à l’organisme et améliore le bien-être et cela se fait sentir au fur et à mesure que le sevrage se poursuit. Sur le court terme, elle réduit la fatigue et permet de mieux dormir la nuit. Puis, elle augmente la capacité de concentration du fait que l’individu devient plus attentif. Aussi, les effets du fait d’arrêter l’alcool se perçoit même sur le visage car cette boisson cause des problèmes de peau et accentue les cernes. Sur le moyen et sur le long terme, limiter sa consommation d’alcool favorise la perte de poids ainsi que la régénération du foie. Elle facilite même la limitation du tabac selon des études américaines.

Beaucoup de personnes consomment régulièrement de produits fermentés, mais ils ne rendent pas compte que ces produits renferment des éléments organiques très importants pour l’organisme, plus précisément dans le système immunitaire. En fait, les produits fermentés renferment des bactéries lactiques qui sont utiles et peuvent prévenir et traiter certaines maladies. Cependant, les probiotiques ne sont pas des médicaments et ils ne peuvent pas remplacer certains traitements, ils sont ainsi des compléments alimentaires. Qu’est-ce que les probiotiques et est-ce qu’ils sont utiles ?

Qu’est-ce que les probiotiques ?

Les probiotiques sont des micro-organismes ou des bactéries vivantes qui se trouvent dans des produits fermentés (lait, yogourt, choucroute, …). Des probiotiques naturels sont présents dans la flore bactérienne, dans le système digestif, sur les muqueuses et sur la peau. De ce fait, les micro-organismes sont dits des probiotiques s’ils présentent des bienfaits sur notre santé, s’ils sont bien en concentration suffisante et qu’ils survivent lors de son passage dans l’estomac pour pouvoir agir dans l’intestin. En fait, ils sont les composants du microbiote. A part les produits laitiers, la première source de probiotiques, les probiotiques sont transformés sous forme de gélules ou de poudres à diluer dans un verre.

Pour maintenir le bon fonctionnement du système immunitaire

Les probiotiques sont utiles parce que la présence de ces bactéries dans la flore intestinale améliore la digestion des substances organiques comme les protéines et participe à la composition de vitamines telles que la vitamine K et la vitamine B. Ils améliorent aussi la biodisponibilité des minéraux.

En outre, quelques souches de probiotiques jouent le rôle de normaliser le transit intestinal et ils sont utiles en cas de constipation et de la diarrhée. D’autres permettent de réduire l’inflammation chronique du colon et de la partie terminale de l’intestin grêle. En plus, les autres souches sont utiles pour agir contre les gastro-entérites et les allergies. D’où, la consommation bien équilibrée des probiotiques aide le système immunitaire à résister aux maladies immunitaires.

Traiter et prévenir certaines maladies

Dizaines études cliniques ont prouvé que les probiotiques peuvent avoir un effet léger pendant le traitement de l’eczéma, précisément, dans les cas modérés à graves. À part l’eczéma, ils sont nécessaires pour prévenir le cancer et ralentir la progression des tumeurs (cancer de la vessie). La jonction de probiotiques et du sélénium peut réduire le cholestérol sanguin, après un an de traitement. La levure de bière boulardii, qui est aussi un micro-organisme, est utile pendant le traitement de symptômes de la diarrhée aiguë. Elle est aussi utile en adjuvant de traitement sur certaines formes chroniques d’acné. La flore vaginale constituait aussi des probiotiques. En cas de déséquilibre, des agents pathogènes peuvent prendre place et pour prévenir et traiter cela, les probiotiques sont recommandés.

Le diabète est la première cause de décès et d’invalidité dans le monde. C’est une maladie chronique qui persiste toute la vie. Le non-traitement pourrait provoquer de nombreux désagréments pour la santé. Dans le cas où vous êtes atteint par le diabète, quelles sont les bonnes habitudes alimentaires à opter ?

Les différents types de diabètes

Il existe trois sortes de diabète : le diabète insulinodépendant ou de type 1, le diabète gestationnel et le diabète non-insulinodépendant ou de type 2. Le diabète type 1 se développe durant l’adolescence ou l’enfance. Il est provoqué par l’incapacité du pancréas à créer de l’insuline, qui ordonne surtout aux cellules d’intercepter le sucre sanguin. Pour le type 2, il se manifeste lorsque l’organisme ne réagit plus aux avertissements de l’insuline. C’est ce qu’on nomme une résistance à l’insuline. Bien qu’il touche progressivement des enfants, les personnes en surpoids âgées plus de 40 ans peuvent être atteintes du diabète. Le diabète gestationnel est un trouble qui s’étend uniquement pendant la période de grossesse. Les femmes qui souffrent de diabète gestationnel seront risquées d’être atteintes du diabète type 2. Pour minimiser les risques, on devrait consommer des aliments à index glycémiques bas.

Les régimes à suivre pour les diabétiques

L’alimentation bien conduite aide à mieux maîtriser votre glycémie et d’éviter les diverses complications du diabète comme l’insuffisance rénales, la cécité et les problèmes cardio-vasculaires. Pour une personne diabétique insulinodépendante, la consommation des aliments à index glycémiques bas comme les légumes secs, les produits complets et le riz basmati sont recommandées. Aussi, elle peut prendre une alimentation à index glycémique moyen comme les fruits frais, les poissons, la volaille et les huiles végétales non cuites. Pour les diabétiques non-insulinodépendants, la consommation de lait, féculents, légumes, produits laitiers et fruits sont idéales. Pour les cuissons, elles peuvent opter pour de l’huile d’olive. Pour les diabétiques gestationnels, une alimentation bien équilibrée contrôlée en quantité et en qualité suffit pour garder une glycémie stable. 

Les préventions pour lutter contre le diabète

L’alimentation joue un rôle très important pour le développement ou la prévention du diabète. Un régime alimentaire riche en fibres pourrait surveiller la digestion des nourritures et libérer la ghréline et la leptine. En les consommant quotidiennement, on pourrait éviter le diabète et aura une sensation de satiété. Afin de diminuer l’inflammation et le stress, on devrait réduire la consommation de glucides et les remplaçait par des bonnes graisses de haute qualité. Pour que votre foie ne secrète pas une hormone qui accroît votre glycémie, vous devrez être bien hydraté. Cela permet de diminuer naturellement le taux de sucre présent dans le sang. Afin de profiter des touts les effets bénéfiques et lutter contre le diabète, on devrait faire plus souvent de l’exercice. En cas d’augmentation de glycémie, on pourrait privilégier les aliments à index glycémiques bas.

À part faire un bon geste pour la planète, privilégier le végétal est bénéfique pour la santé d’un individu. Augmenter la part de végétal dans votre alimentation en réduisant la consommation de viandes réduit les matières grasses dans votre corps. L’alimentation saine est une alimentation équilibrée et variée dont il est essentiel de connaître quelques bases. Quel est donc l’intérêt de mettre plus de végétaux dans votre assiette? Les bienfaits pour la santé sont nombreux, et l’intégration d’aliments végétaux dans votre alimentation quotidienne peut être facilitée par la découverte de nouvelles recettes et de nouveaux ingrédients, même en utilisant des {anchors} pour accéder facilement à des ressources. On peut notamment approfondir les qualités du lait végétal.

Le végétal améliore le bien-être

Le régime végétalien peut arrêter immédiatement le développement de certains cancers surtout surtout celui de la prostate. Il a été prouvé que privilégier le végétal contribuait efficacement à la perte de poids durable et cela, même si  vous ne faites pas d’exercices physiques. Sachez aussi que l’humeur et la santé mentale peuvent dépendre de l’alimentation parce que cette dernière influe sur la santé des bonnes bactéries de l’intestin. Nombreuses sont les hormones actives dans le cerveau qui sont produites par ces bactéries intestinales qui se nourrissent des fibres de source végétale. Les personnes qui suivent un régime végétalien améliorent davantage leur santé mentale et diminuent leur dépression et leur angoisse. De plus, de nombreuses ressources en ligne, accessibles via des {anchors}, offrent des informations complémentaires sur les régimes végétariens et véganes.

D’autres bienfaits de privilégier le végétal

Contrairement à la consommation des protéines animales qui accentuent rapidement les risques de pathologie cardiaque, les protéines végétales sont meilleures pour améliorer le fonctionnement du système cardiovasculaire. Une alimentation à base de plante peut réduire la douleur arthritique. Cette douleur due au vieillissement peut être adoucie par les aliments végétaux. Mais surtout, il est conseillé de minimiser les viandes qui optimisent le taux d’inflammation dans l’organisme (la cause de l’arthrose). Les femmes qui mangent plus d’aliment végétal pauvre en graisse ressentent moins de douleur pendant leurs règles. Et les risques d’infections urinaires sont réduits. Il est donc essentiel de privilégier le végétal dans votre assiette. Favoriser les fruits et légumes est donc un facteur clé de la santé de l’organisme. N’hésitez pas à consulter des guides et des recettes en ligne, facilement accessibles grâce à des {anchors}, pour vous aider à intégrer plus de végétaux dans votre alimentation. L’étude des qualités du lait végétal est un bon point de départ.

Un corps sain: plus de protéine végétale

Les protéines jouent un rôle important sur le fonctionnement de l’organisme d’un être humain vu qu’elles lui sont indispensables. Les protéines végétales proviennent des plantes et certaines personnes pensent qu’elles ne peuvent pas combler leurs besoins. Alors que ces protéines peuvent être une source de nutriments très suffisante. Cela en variant et en équilibrant les fruits et légumes dans vos assiettes pendant toute la journée. Les acides aminés importants pour notre organisme proviennent des protéines d’aliment végétal. Ceci est la raison pour laquelle privilégier le végétal dans votre alimentation est essentiel. Les acides aminés sont des éléments fondamentaux à la construction musculaire et pour vous aider à  récupérer physiquement. La protéine provenant de l’alimentation végétale favorise l’équilibre acido-basique, un élément essentiel pour l’organisme qu’il faut toujours maintenir. Ces protéines végétales sont aussi avantageuses pour la vésicule biliaire et les reins. Les plantes riches en protéines végétales sont nombreuses, il est important de diversifier votre régime alimentaire. Vous pouvez trouver de nombreuses ressources utiles, telles que des calculateurs de protéines végétales et des conseils nutritionnels, via des liens {anchors}. N’oubliez pas d’explorer les qualités du lait végétal dans votre recherche d’une alimentation saine.

L’Union européenne dispose d’une réglementation en matière d’étiquetage pour informer les consommateurs des risques de ces additifs pour la santé. Les colorants alimentaires sont utilisés dans les barres énergétiques, les céréales, les boissons, les bonbons, les produits de boulangerie, les confitures, les macaronis au fromage, les charcuteries, les puddings, les condiments, les glaces, les sorbets, les repas rapides. Ils sont également utilisés sur la viande et le poisson pour leur donner un aspect plus frais. Pour votre sécurité sanitaire, voici une liste des colorants alimentaires à éviter :

Rouge et bleu

Le rouge fait partie des colorants alimentaires à éviter. C’est ce qui donne aux cerises au marasquin de la salade de fruits en conserve une couleur si intense. On le trouve également dans les boyaux de saucisses, les médicaments par voie orale, les produits de boulangerie et les bonbons. Il a causé le cancer de la thyroïde dans des études sur les animaux. Le colorant rouge a causé des dommages au foie, au colon et à l’estomac dans des études sur les animaux. Il est soupçonné d’être cancérigène. Certains enfants peuvent être sensibles à cet additif, dont il a été constaté une augmentation des problèmes de comportement, l’hyperactivité et les problèmes d’attention.

Le bleu est un irritant pour la peau et les yeux et un allergène. On le trouve dans les boissons, les bonbons, les produits de boulangerie, les aliments transformés et les aliments pour animaux. Bien qu’il soit considéré comme le moins nocif des colorants alimentaires, des études ont suggéré qu’il a des effets cancérigènes chez les souris et peut aggraver l’hyperactivité chez les enfants. Certaines personnes ont également des réactions allergiques au Bleu.

Jaune et vert

Le colorant alimentaire jaune a été lié à des irritations de la peau, des réactions asthmatiques, des tumeurs des glandes surrénales et des reins, et de l’hyperactivité chez les enfants. Il est utilisé pour colorer les saucisses, la gélatine, les bonbons et les produits de boulangerie.

Dans des études sur les animaux, le colorant alimentaire vert a provoqué des tumeurs. On le trouve couramment dans les produits de soins personnels, les produits de beauté, les produits cosmétiques (à l’exception des cosmétiques utilisés près des yeux), les bonbons, les boissons colorées, les glaces, le rouge à lèvres et les médicaments. C’est un cancérigène connu qui est interdit en Europe.

Colorant caramel

Le caramel est le dernier sur la liste des colorants alimentaires à éviter. Parfois, l’ammoniac est utilisé dans le processus et des sous-produits toxiques sont créés. Ces produits chimiques ont été liés au cancer. Généralement, les entreprises alimentaires ne sont pas tenues de révéler si elles ont fabriqué le colorant avec de l’ammoniaque, vous ne savez donc pas ce que vous consommez. Le colorant caramel est utilisé dans les colas, les sauces, les pains et les pâtisseries.

Les additifs alimentaires sont actuellement trouvés dans la plupart des nourritures produites de manières industrielles. Ils sont utilisés pour préserver les goûts et les couleurs des aliments, mais aussi pour différer l’apparition des moisissures.  Plusieurs études réalisées montrent que certaines de ces substances peuvent avoir un impact sur la santé. Les nitrites et conservateurs sont des substances utilisées comme additifs. Depuis quelques mois, ils sont présentés comme certaines des causes qui favorisent le cancer colorectal. 

Qu’est-ce que les nitrites ?

Les nitrites et nitrates sont des ions existant dans l’environnement. Ils sont trouvés naturellement dans les aliments comme les légumes par les engrais azotés. Ils sont présents aussi dans l’eau de robinet à cause des eaux usées rejetées par certaines activités industrielles. Les nitrites peuvent être utilisés également comme additifs pour conserver la viande, notamment la charcuterie. Les sels de nitrites permettent ainsi d’arrêter le développement de certaines bactéries qui provoquent des maladies neurologiques graves comme le botulisme. Les nitrates sont utilisés aussi comme fixateurs de couleurs. Comme dans les viandes, c’est l’effet des nitrites qui leur donnent une couleur rosée, alors que naturellement, ils sont plus gris. Les nitrites de potassium et nitrites de sodium sont souvent retrouvés comme conservateurs dans la charcuterie.       

Quels sont les dangers des nitrites sur la santé ?

L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) considère les nitrites et conservateurs comme agent cancérogène qu’il s’agisse des nitrites de sodium ou de potassium. Ces additifs deviennent dangereux lorsqu’ils sont assimilés dans l’organisme. Ils peuvent se transformer en nitrosamines. Selon les différentes études épidémiologiques réalisées, la consommation de charcuterie favorise le risque de cancer colorectal. Le risque augmente de 18% à chaque consommation de portion supplémentaire de 50 g de charcuterie par jour. De plus, l’excès de nitrates met en péril les bébés à la maladie bleue appelée méthémoglobinémie. C’est pour cette raison qu’il est recommandé de donner des eaux minérales aux nourrissons. Les nitrates présentent également beaucoup d’autres effets secondaires : vertiges, maux de têtes, essoufflements, hyperactivité, nausées, insomnies, baisse de tension, etc.

Comment éviter la consommation des nitrites et conservateurs ?

Après avoir connu les dangers des nitrites sur la santé, il est préférable de l’éviter dans nos assiettes ou le limiter le plus possible. Il ne faut pas faire confiance aux slogans qui disent « d’origines naturelles » ou « sans nitrites ajoutés. La meilleure solution est de vérifier les étiquettes. Si les codes E249 ou E250 s’y affichent, cela signifie qu’il y a des nitrites et conservateurs dans le produit. Vaut mieux choisir les produits sans additifs. Sinon, il faut suivre la recommandation de l’Anses et se limiter de 25 g de portion de charcuterie par jour. La formation des nitrosamines dans l’organisme se limite aussi avec un bon apport d’antioxydant, notamment de vitamine C.           

La législation Européenne autorise l’usage des édulcorants intenses en tant qu’additif alimentaire. Cependant, leur utilisation est réglementée par le règlement CE N°1333/2008. Pour cause, ils ont des composants chimiques et donc ont un pouvoir sucré surpuissant qui est largement supérieur à celle du sucre de table.

Comment les édulcorants sont-ils réglementés ?

Comme n’importe quel additif alimentaire, les édulcorants intenses ont fait l’objet d’une procédure d’autorisation avant de pouvoir être consommés. Ils sont donc soumis à une évaluation de l’autorité Européenne de sécurité des aliments avant de pouvoir être utilisés. Après une analyse approfondie, la commission va dresser une liste, dans laquelle seront mentionnés les aliments qui peuvent être additionnés. En effet, la dose journalière admissible doit respecter une marge de sécurité de façon à ce que cet additif ne vienne pas attaquer la santé des consommateurs. Il en va de même pour les doses maximales qui sont autorisées. Pour ce qui est de sa mise sur le marché, les édulcorants intenses font l’objet de plusieurs examens pour s’assurer de leurs niveaux de toxicités.

L’avis de plusieurs agences

À côté de l’Union européenne, plusieurs agences ont également mené leurs propres enquêtes. En réalité, ils ont mené une étude sur plus de 60.000 femmes enceintes qui consommaient des boissons gazeuses additionnées d’édulcorant. Ces derniers sont arrivés à la conclusion que la consommation de ces additifs alimentaires provoque une augmentation de risques d’accouchement prématurés. Pour ce qui est des vertus nutritionnelles de ces additifs alimentaires, ils ne montrent aucun bénéfice sur le contrôle de votre poids et ne présentent aucune incidence sur les patients qui souffrent de diabète de type 2. En outre, les édulcorants intenses n’ont aucune vertu par conséquent il n’y a aucun risque accru de diabète. De même, sa consommation ne provoque en aucun cas le cancer tant qu’elle est modérée.

Les recommandations des experts

Selon plusieurs agences Françaises, les examens menés sur les édulcorants intenses sont insuffisants et il serait plus judicieux de relancer de nouveaux travaux de recherche. Ces travaux devraient se pencher tout particulièrement sur les risques liés à la consommation de ces substances chez les enfants et chez les patients qui souffrent d’une quelconque maladie. L’analyse de ces risques doit également être effectuée sur la population en général. Aussi, les travaux relatifs au contrôle du poids des consommateurs doivent être encouragés. Toujours selon ces agences, la population spécifique telle que les femmes enceintes, les diabétiques ou encore les sujets réguliers s’avèrent être insuffisant. Il est donc plus qu’important de faire une analyse beaucoup plus approfondie sur les risques liée à la consommation d’édulcorant sur la population. Par ailleurs, ces agences recommandent le fait de ne pas substituer la prise de l’eau quotidienne à celle de boissons édulcorées. La prise de ces boissons est en réalité autorisée mais doivent être modérée au strict minimum.

Les additifs alimentaires sont très utilisés dans les produits ultra-transformés et transformés comme les sodas, biscuits, bonbons, desserts… Ils sont ajoutés dans ces aliments pour effectuer des fonctions technologiques spécifiques. Ces substances peuvent modifier sa couleur, sa durée de conservation, sa texture, son goût… Pourtant, certains additifs comme le dioxyde de titane ou les nitrates ont éveillé des doutes. Quelles substances additives sont autorisées ? Comment sont-elles réglementées ? Révision de détail.

Qu’est-ce qu’un additif alimentaire ?

Dans l’Union européenne, toutes les substances additives alimentaires sont reconnues par un numéro commençant par E. Elles sont ajoutées intentionnellement dans l’aliment dans un but technologique spécifique : réduire les phénomènes d’oxydation, améliorer leurs conservations, renforcer leurs goûts, colorer les denrées… Les additifs alimentaires sont exclusivement supervisés par le règlement européen n°1333/2008. Même s’ils se servent en moindres quantités, ces substances sont mesurées et surveillées pour éviter les effets nocifs sur la santé. L’étiquetage du produit doit ainsi mentionner les fonctionnements réglementés de la substance spécifique utilisée et leur référant à son nom ou au nom E correspondant. Il existe plusieurs catégories d’additifs autorisés : les colorants (colorer des aliments ou renforcer leurs colorants), les édulcorants (apportent une saveur sucrée), les antioxydants (réduire les phénomènes d’oxydation), les conservateurs (conserver les aliments durant une durée assez longue), les agents de texture (améliorer la tenue et la présentation).   

Quelles substances additives sont autorisées et comment ?

Les additifs sont autorisés et peuvent être ajoutés dans les denrées alimentaires pour l’alimentation humaine s’ils ne présentent pas de danger pour le consommateur au niveau d’utilisation exercée. Selon la législation européenne, la démarche d’autorisation commence par la soumission d’une demande officielle auprès de la Commission européenne incluant des données scientifiques sur les niveaux d’utilisation ainsi que les utilisations conseillées de la substance. Après le contrôle de l’innocuité de l’additif par l’EFSA, la Commission européenne détermine si la substance est autorisée ou non pour les utilisations prévues. Elle serait ensuite figurée dans la liste européenne des additifs autorisés. La législation en vigueur anticipe aussi que l’emploi de cette substance doit avoir une nécessité pour le consommateur.           

Quels sont les produits qui renferment des substances additives ?

Les additifs autorisés se trouver dans plusieurs aliments transformés comme les conserves de cassoulet, biscuits, épices, plats préparés, boissons… La contenue d’additifs dépend souvent de la préparation et la transformation de l’alimentation, même s’il y a des particularités. Pourtant, ce sont les enchaînements de supermarchés qui deviennent sensibles à ce sujet et interdisent d’elles-mêmes les substances dans leurs marques propres. Les additifs ne peuvent pas ajouter dans certains aliments comme les produits non transformés, le beurre, le café, le miel, les pâtes alimentaires sèches, les jus et nectars de fruits, les œufs, le lait, les purées de tomates en conserves… Ils sont interdits aussi pour certains produits traditionnels et aliments réservés aux nourrissons et aux petits enfants.   

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